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Une équipe de recherche de l’Université de Californie à Irvine s’est associée à des spécialistes des céphalopodes du Laboratoire de biologie marine de Woods Hole pour percer ce mystère. Ils ont découvert une structure cachée de nanopiliers dans la peau du calmar, constituée d’une protéine unique appelée réflectine. Ces piliers agissent comme des miroirs miniatures, réfléchissant ou transmettant la lumière selon leur orientation.
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L’étude s’est concentrée sur le calmar côtier à longues nageoires (Doryteuthis pealeii), qui vit dans l’océan Atlantique.