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En revanche, après la mort d’un mâle en hiver, les membres du groupe restaient proches du corps, une jeune femelle s’en occupant même.
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L’étude souligne que des liens sociaux forts influencent le comportement des macaques même après leur mort. Des réactions similaires ont été observées chez d’autres animaux, comme les orques et les chimpanzés. Les auteurs appellent à des observations plus approfondies pour mieux comprendre ce phénomène.
