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Dans les forêts denses du bassin amazonien, un dialogue invisible s’instaure entre les arbres et la lumière du soleil, se manifestant par une faible lueur appelée intensité solaire de fluorescence (IFF). Cette lueur permet aux scientifiques d’évaluer l’intensité de la photosynthèse sur Terre : plus la forêt brille, plus elle est saine.
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Mais de nouvelles recherches mettent en garde contre le fait que cette lueur ne révèle pas toujours toute l’histoire. Alors que le changement climatique allonge et intensifie les saisons sèches, les experts étudient attentivement la réaction du sous-bois amazonien.
