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L’équipe a examiné les toits de bâtiments résidentiels recouverts de différents revêtements, notamment de rhodiola et de sedum. Lorsqu’il pleut, la végétation et le sol piègent les microplastiques, leur permettant de se déposer. Des recherches ont montré qu’un toit végétalisé retient plus de 97,5 % des microplastiques lors de fortes pluies.
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On compte actuellement environ 3,56 millions de mètres carrés de toits végétalisés à Shanghai. L’augmentation de leur superficie permettrait de piéger jusqu’à 56,2 tonnes de microplastiques par an.
Les avantages des toits végétalisés sont donc évidents : ils améliorent la qualité de l’air et contribuent à la lutte contre les microplastiques dans les villes.