Des chercheurs de l’Université du Massachusetts à Amherst (UMA) sont prêts à proposer une nouvelle solution pour repousser les porteurs de plusieurs maladies infectieuses dangereuses : les tiques du cerf. L’idée d’un nouveau répulsif leur a été transmise par des ânes. En effet, les glandes sébacées de leur dos sécrètent le composé (E)-2-octénal, qui a un effet répulsif contre les tiques.
Publicité
Ceci a été confirmé lors d’une expérience menée auprès d’un groupe de volontaires équipés de dispositifs à libération lente de ce composé. Grâce à eux, l’équipe a traversé sans difficulté une région du Brésil infestée de tiques. Une autre étude a montré que si des chevaux et des ânes se trouvaient simultanément dans un tel endroit, les tiques « choisissaient » indéniablement les chevaux.